"Fous de la Divine" de Didier Jacob.
"... Roberto Gac, on le voit, barbouille l'image d'Épinal, et retourne, après Baudelaire, le sablier d'une oeuvre où enfer et paradis se retrouvent cul par-dessus tête. Dans cette nouvelle "Divine Comédie", le héros qui se prend pour Dante, est soigné par Virgilio Pazzi. Le purgatoire ? C'est sa thérapie. Jouant des langues et des styles, Gac excelle dans la description des enfers modernes, ces couloirs encombrés de psychotiques d'un hôpital psychiatrique, comme dans celle du Paraiso-Hilton, un hôtel neuf étoiles où Dante ne sait plus à quelle starlette se vouer... "